C’est la question que se posent aujourd’hui certains sociologues issus d’écoles de pensée pourtant différentes.
À regarder autour de nous, la course au temps serait partout, au travail comme dans la vie privée. L’urgence se serait immiscée dans
toutes les composantes de la vie, en particulier à travers le
développement frénétique des technologies de l’information et de la
communication, qui, en introduisant une connexion permanente avec nos « mondes » sociaux, nous enfermeraient dans l’instant et nous
empêcheraient de hiérarchiser les priorités.
Un piège se refermerait alors sur l’individu et le contraindrait à toujours accélérer pour faire face à ce temps oppressant, au détriment
peut-être de sa propre santé, avec le développement de maladies
psychiques spécifiques.
Qu’en est-il vraiment ?
Notre rapport au temps a-t-il à ce point changé en quelques années ?
Est-ce une fatalité de notre société contemporaine ?
Comment la sociologie, en particulier intervenante, peut-elle s’emparer de ce sujet et, peut-être, offrir des alternatives ? »
Quand : MARDI 13 NOVEMBRE DE 19H à 20H30
Lieu : AU THéâTRE DE LA COLLINE – 15 rue Malte-Brun Paris XXe www.colline.fr
Qui : Animation : Danielle Cerland-Kamelgarn et Jérôme Koch
Thème proposé par Gregory Lévis – Une conférence organisée par l’APSE
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