Aux sources du coaching d’Entreprise

Quand Alain Cayrol, un des fondateurs du coaching en France prend la parole sur le coaching d’entreprise dans l’émission Les Experts « Coulisses du coaching, a bas les idées reçues »  le 30 juillet dernier sur Europe 1, il le fait avec bonheur et intelligence. Il témoigne sur son blog :  » J’étais invité fin juillet sur Europe 1  pour parler de coaching. Moment agréable, ambiance positive. »

Ecouter, un grand du coaching témoigner de ces 20 ans d’expérience sur le coaching d’entreprise et le life coaching nous réconcilie avec notre métier.

Vous pouvez aussi découvrir son nouveau blog où il se fait le chantre de la psychologie positive displine développée dans les années 70 aux Etats Unis par Martin Seligman qui a publié Apprendre l’optimisme aux Editions Interéditions.

Cultiver l’optimisme pour soigner son cerveau

Dans la revue Au fait, du mois de novembre 2013, le professeur Bellivet, Chef du service Psychiatrie à L’hôpital Lariboisière raconte comment les maladies mentales vont bientôt supplantées le cancer et comment le cannabis chez les moins de 18 ans, beaucoup plus concentré qu’avant, multiplie de 4 à 7 le risque des maladies schizophrènes. Il s’élève contre l’inculture totale qui interdit de penser le cerveau comme un organe comme les autres organes susceptibles d’être malades !

J’explique souvent à mes clients les ressorts de l’oxygénation du cerveau et à quoi cela sert pour prévenir le stress et accentuer son le bien-être. Rien de pire que de manger en 5 minutes un sandwich derrière son écran sans même sortir s’oxygéner et faire le tour du pâté de maisons. Respirer permet de renouveler et faire circuler l’oxygène et de reconnecter ses neurones. Plus de détente c’est plus de performance ! On n’a pas besoin d’être un grand sportif pour marcher tous les jours en accentuant sa respiration voire faire de grands moulinets avec ses bras. C’est ce qu’on apprenait à l’école au cours de gym, non ?

Comme les sportifs, les managers devraient prendre soin de leurs corps et leur cerveau pour anticiper stress et risques psychosociaux.