Quand un coach fait un burn out !
J’ai récemment lu un article dans l’Express : Quand le coach fait un burn-out où Thierry Chavel témoigne du burn-out dont il a été victime en 2015 : « Pendant des années, j’ai été accro à la productivité, avec des journées non-stop, de 8h à 20h, qui me dopaient à l’adrénaline mais qui me faisaient perdre le fil de l’essentiel. Une 
activité en surrégime qui masquait ma peur du vide, et m’a conduit à faire de ma vie une liste de courses. J’étais grisé par les rendez-vous qui s’enchaînaient, les déjeuners, les cours, les conférences… Je ne levais plus les yeux de mon smartphone. Le business m’accaparait, je travaillais pour vivre. J’ai été happé par ce job-passion. Le stress était pour moi un état normal. »
Quelles sont les pathologies chez les coachs ?
- un coach neurasthénique,
- un autre dépressif,
- une boulimique,
- une anorexique,
- un autre qui buvait du café toutes les heures,
- deux coachs qui fumaient,
- un qui aimait bien son petit verre d’alcool tous les midis
- un dernier workaholic.
Nous étions supervisés par une psychothérapeute et je voyais apparaitre pendant nos intervisions collectives les contre transferts que faisaient les coachs sur leurs clients. Je ne suis pas exempte de tous travers mais il est du « devoir » des coachs d’avoir fait un travail suffisamment long et profond sur eux mêmes pour avoir régler un « maximum » de problématiques. Je venais de l’extérieur où je n’avais pas de stress et continuais mes pratiques matinales de Yoga et méditation.
- La politesse,
- La sincérité,
- Le courage,
- La modestie,
- Le respect de soi et de l’autre,
- Le contrôle de soi,
- La loyauté.
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