On vous a tout coupé : budget, déplacements, notes de frais pour vous et votre/vos équipes, recrutement… Evidemment, on vous demande de faire plus que l’année dernière avec moins de ressources. Et quand vous dîtes à votre chef « Comment je vais bien pouvoir faire ? », la réponse se limite soit à de vagues explications sur « On y peut rien, c’est la crise » ou pire « Débrouillez-vous, vous êtes payés pour cela. »
Vous vous sentez vraiment seul dans un contexte de plus en plus difficile où vous voyez vos possibilités d’action très réduites. Vous êtes pris dans une double contrainte, celle de Bateson dont on a fêté le cinquantenaire. Celle qui rend « fou ». C’est là que le stress est maximal et déclenche de nombreux RPS dans les entreprises.
Quelles sont vos solutions ?
La première est de vous faire porter pâle pour une petite dépression, plus grave vous pouvez choisir entre AVC, alerte ou crise cardiaque, alcoolisme, tabagisme, anti dépresseurs…..
La seconde est de trouver des marges de manœuvre. Aujourd’hui, celles-ci sont avant tout managériales : le domaine du management est celui des hommes. Dans ce registre, les manières de faire travailler son/ses équipes ensemble, de trouver des ressorts de motivations, de comprendre les besoins psychologiques et les motivations profondes qui font avancer ses collaborateurs et de susciter créativité et dynamisme sont infinies.
Demander beaucoup lorsqu’on a de grosses primes à distribuer est la négation même de la fonction managériale. Quand on ne peut plus s’appuyer sur ce type de ressort, il faut réfléchir, observer, inventer, créer de nouvelles méthodes. Les leaders sont ceux qui trouvent des marges de manœuvres dans un système contraignant. Ceux qui acceptent de se faire accompagner pour trouver en eux les sauts de performances managériales à développer en temps de crise.
Alors, en 2012, pour atteindre tous vos objectifs faîtes appel à un coach !
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